Faire du lien entre les disciplines pour donner du sens aux apprentissages, pour ne pas s'isoler pour permettre aux élèves de se “rattraper” en construisant des passerelles, voilà bien des motivations tant du côté des élèves que des enseignants.

On parle de quoi ? 

Une réflexion menée sur les besoins des élèves les plus fragiles. Des constructions communes au sein d'un collectif enseignant qui permettent de reprendre collectivement ladite séance pour l'ajuster., 

On sent derrière cette proposition l'influence des lessons studies. Popularisées dans les années 2000 à la suite des comparaisons internationales TIMMS1 , les Jugyo Kenkyu, littéralement études de leçon, sont nées au Japon dans les années 1890. À l’occasion d’une réforme scolaire, les enseignants ont commencé à se réunir afin d’observer des leçons, en particulier de mathématiques, et de les examiner de manière critique (Shimizu, 2014). Ces études de leçons se sont ensuite généralisées dans l’ensemble du Japon.

On fait quoi ? 

Cette vidéo présente  l’expérience de classes de 6ème sans note. Plusieurs professeurs de différentes matières partagent leurs points de vue sur leurs expériences professionnelles et échangent sur leurs pratiques en classe ainsi que sur les contenus de leurs séances. Le but étant de faire progresser tous les élèves et de créer un langage commun, des pratiques et des terminologies partagées.

Inspirant !